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Bruxelles, le 9 mai 2021
Par Cheik FITA
Jeudi 7 mai 2021, l’état de siège décrété pour l’Ituri et le Nord Kivu par le Président congolais Félix Tshisekedi est entré en vigueur. C’est pour tenter d’éradiquer les tueries dans ces provinces et de traquer les groupes armés qui y sèment la terreur.
Cette affaire étant d’une haute importance, les réactions ne peuvent pas manquer: pays, organisations, médias, personnalités... Comment caractériser ces réactions, normales ? Désintéressées ou intéressées ? Suspectes ?
Le journal en ligne congolais www.scooprdc.net a publié un article là-dessus. (Voir lien plus bas).
Il est vrai, depuis 1994 avec l’assassinat du Président rwandais de l’époque et tout ce qui s’en était suivi, il n’y a plus jamais eu de paix à l’Est de la RD Congo. Pire, que de la désolation, des déplacements de population, des morts. Pas une ou deux personnes, mais des millions de morts: 26 ans, toute une génération, C’est trop !
Que faire ?
Extrait de l’article
Si la proclamation de l’état de siège par le président de la République est saluée par la quasi-majorité des Congolais en vue de voir leurs compatriotes des provinces de l’Est respirer aussi la paix, certaines ONGs comme Human Rights Watch (HRW) à la solde des multinationales, veulent une chose et son contraire : exiger le retour de la paix et refuser en même temps le retour de cette paix.
S’il est aussi un peu vrai que la guerre dans l’Est de la RDC est attribuée aux conflits identitaires entre communautés, il faut reconnaître que ces derniers sont alimentés par des sociétés multinationales qui veulent avoir une mainmise sur les richesses minières dans un esprit de prédation. Ce qui fait déclarer à beaucoup d’experts sans qu’ils ne soient contredits que le nerf de la guerre et conflits armés dans l’Est de la RDC est l’ensemble des potentialités minières, notamment l’Or et le Coltan.
A l’annonce de l’état d’urgence par le président Tshisekedi, HRW s’est vite activée en associant certains médias étrangers dans une campagne de diabolisation de cette action initiée pour
Voici le lien de cet article.
