Alfonso Nsue, Vice-Premier Ministre de Guinée Équatoriale a tenu le jeudi 14 février 2019 une conférence de presse à l'Hôtel Concorde-Montparnasse de Paris afin de dénoncer la campagne de diabolisation contre son pays en Europe à propos des Droits de l'Homme.

Lors de cette conférence de presse, Mr Alfonso Nsue a tenu à rappeler certains faits :

• C'est depuis 1979 que la Guinée Équatoriale travail le en étroite collaboration avec la Commission des Droits de l'Homme de l'ONU qui a son siège à Genève. Et depuis lors, la CDH-ONU publie régulièrement des rapports sur la Guinée Équatoriale qui n'ont rien à voir avec les affirmations alarmantes diffusées dans les grands médias internationaux, surtout français, ou affirmations souvent en provenance de la France.

• En 2018, la Guinée Équatoriale a organisé un colloque international sur les Droits de l'Homme en association avec la presse et la société civile africaine ainsi que la FIDH, Fédération Internationale des Droit de l'Homme. Paul Nsapu son secrétaire Général avait fait spécialement le déplacement pour cela.  Parmi les résolutions du colloque, il y a eu la décision de créer un observatoire des Droits de l'Homme. Cet observatoire est déjà fonctionnel. Il y a eu aussi  l'amnistie, qui est effective.

• Durant le colloque de 2018, les participants avaient l'occasion de visiter les prisons du pays où il y a certes des prisonniers, mais des prisonniers des droits communs, et pas des prisonniers politiques.

• La plupart des informations qui circulent dans l'opinion sur les Droits de l'Homme en Guinée Équatoriale sont pour Mr Alfonso Nsue, des fakenews créées pour nuire à l'image de son pays.

• Pour le Vice-Premier Ministre Équato-guinéen, en matières des Droits de l'Homme sur le continent africain, son pays se trouve dans le peloton des tête : enseignement pour tous, eau et électricité pour tous, d'innombrables logements sociaux, liberté d'expression...

Mr Alfonso Nsue a enfin déclaré que désormais, son pays ne laisserait plus jamais passer cette campagne de diabolisation contre son pays sous prétextes des Droits de l'Homme. Il est convaincu que cette campagne n'est en réalité qu'un échappatoire, et les véritables raisons sont ailleurs.

Durant la conférence de presse, Mr Alfonso Nsue était accompagné par l'ambassadeur de Guinée Equatoriale en France, monsieur Miguel Oyono, le directeur des Droits de l'Homme du pays, monsieur Manuel Mba Nehama. La modération était assurée parde James Ngumbu de PANAFRICA.

Avant d'arriver à Paris, Mr Alfonso Nsue et sa délégation s'étaient rendus à Strasbourg où ils avaient eu des séances de travail avec des députés européens. Il est prévu que la délégation se rende aussi très prochainement à Genève au siège de la Commission des Droits de l'Homme de l'ONU.

Le processus électoral congolais ayant largement occupé les médias ces dernières semaines, la webTV Euro-AFRICATV interviewé le Vice-premier Ministre Alfonso Nsue à ce propos.

Mr Alfonso Nsue s'est déclaré satisfait de l'issue des élections congolaises avec l'arrivée à la Présidence de Mr Félix Antoine Tshisekedi.

Paris, le 14 février 2019

Cheik FITA

NOTA BENE l'interview est en cours de montage.

Avant d'arriver à Paris, Mr Alfonso Nsue et sa délégation s'étaient rendus à Strasbourg où ils avaient eu des séances de travail avec des députés européens. Il est prévu que la délégation se rende aussi très prochainement à Genève au siège de la Commission des Droits de l'Homme de l'ONU.

Le processus électoral congolais ayant largement occupé les médias ces dernières semaines semaines, le webTV Euro-AFRICATV interviewé le Vice-premier Ministre Alfonso Nsue à ce propos.

Mr Alfonso Nsue s'est déclaré satisfait de l'issue des élections congolaises avec l'arrivée à la Présidence de Mr Félix Antoine Tshisekedi  Tshilombo.

Paris, le 14 février 2019

Cheik FITA

NOTA BENE l'interview est en cours de montage.

La coordination du Congrès Mondial des Congolais Vivant à l’Étranger, CMCVE en sigle, porte à la connaissance de tous les Congolais vivant à l'étranger qu'elle vient de relancer son opération de création d'une banque des données des Congolais de l'étranger, en application d'une résolution de son quatrième congrès de 2011.

Qui sommes-nous ?

Pourquoi cette opération et qu'est-ce que cette banque de données ?

Quel intérêt ?

De 2005 à 2011, il avait été organisé à Bruxelles quatre éditions du congrès mondial des Congolais vivant à l'étranger.

Lors du quatrième congrès de 2011, parmi les résolutions prises, il y en avait une concernant la création d'une banque de données des Congolais vivant à l'étranger.

Parmi les participants à ce congrès il y avait une forte délégation de l'UDPS le parti qui vient d'accéder au pouvoir aujourd'hui.

Cette délégation était conduite par Me Jacquemain Shabani Secrétaire Général et numéro 2 du parti à l'époque, qu'accompagnait Monsieur Valentin Mubake, conseiller politique du Président , feu Étienne Tshisekedi.

L'action avait démarré mais fut plombée par la suite, à cause du statu quo politique au pays.

Avec la mise en place progressive de nouvelles institutions issues des élections de décembre 2018, la plupart des Congolais vivant à l'étranger sont tentés de rentrer au pays.

La banque des données des Congolais de l'étranger pourrait être un outil capable de mieux canaliser les différents projets de la diaspora congolaise.

À quoi servira cette banque de données et qu'est-ce ?

Comme son nom l'indique, la banque de données collectera un certain nombre de données des Congolais vivant à l'étranger ainsi que de leurs projets pour la RD Congo.

La coordination du CMCVE servira d'interface entre les Congolais vivant à l'étranger et les institutions congolaises, et pourrait ainsi faciliter l’exécution des projets sur terrain.

Une application va incessamment être créée pour cela, mais l'inscription peut déjà se faire via l'e-mail suivant : congolaisvivantaletranger@gmail.com

La coordination du CMCVE met actuellement en place une structure consultative composée de 52 membres à raison de deux membres pour chacune des 26 provinces de la RD Congo.

NOTA BENE. Il va de soi que toutes les données recueillies seront protégées et gardées secrètes, elles ne pourront pas être rendues publiques, et elles ne pourront être expédiées qu'au destinataire choisi par le propriétaire.

Pour le CMCVE

Cheik FITA, membre de la coordination

Ci-dessous le formulaire à remplir: plus bas en format pdf, téléchargeable

Formulaire d'inscription à la

banque des données des congolais vivant à l'étranger

N°____/____/_____/_____

Il y a deux ans, Étienne Tshisekedi disparaissait à Bruxelles. Cette disparition provoqua un onde de choc tel que le régime de Joseph Kabila eut peur de rapatrier le corps du leader de l'UDPS.

Dans l’entre-temps, beaucoup de choses ont changé et Joseph Kabila n'est plus au pouvoir. Ironie du sort, après les élections du 30 décembre 2018, c'est le successeur d’Étienne Tshisekedi à la tête de l'UDPS et accessoirement le fils du défunt qui est désormais Président de la RD Congo.

À Bruxelles, une cérémonie d'hommage aura lieu au funérarium où repose toujours le corps d’Étienne Tshisekedi. Et à Kinshasa, un culte sera célébré à la cathédrale Sainte Anne de Lingwala.

Plus rien ne s'oppose désormais au retour en RD Congo du corps d’Étienne Tshisekedi.

S'il est deux concepts qu'Etienne Tshisekedi a légué à la postérité c'est "Etat de droit" et "Changement".

Lors de la conférence nationale souveraine de 1991 à 1992, la campagne pour l'élection de Premier Ministre était axé sur ce seul mot pratiquement magique : « Le changement ».

La photo ci-desssus montrant Etienne Tshisekedi et Cheik FITA lors de la CNS, Conférence Nationale Souveraine est explicite. C'est le 15 août 1992, l'élection du Premier Ministre va avoir lieu en soirée. Le conférencier qui est  à côté faisant campagne, a un drapelet où l'on peut lire: "Tshisekedi pour le changement".

Hélas, de 1992 à 2018, que de pesanteurs pour qu'advienne enfin le changement en RD Congo au profit du peuple congolais.

C'est ainsi que la vie d’Étienne Tshisekedi s'est transformée en une vie de combattant, et malheureusement aussi de combattu, au pays et à l'étranger, notamment en Belgique l'ancienne métropole où certains médias et certains milieux politiques ne cachent pas leur anti-tshisekedisme jusqu'aujourd'hui.

Bruxelles, le 1^er février 2019

Cheik FITA