Le combattant Papitcho Olengha qui avait crevé l’écran lors de la table ronde de Bruxelles organisée par l’ambassade de la RD Congo a tenu un point de presse vendredi 29 novembre 2013 en soirée à Liège.

C’était pour marquer les deux ans du hold-up électoral, s’exprimer par rapport à la situation politique en RD Congo et donner une projection pour l’avenir, proche si possible.

Après avoir dépeint la situation dans laquelle est plongée la RD Congo suite à la mauvaise gouvernance par un régime qui refuse de partir, monsieur Papitcho  Olengha a affirmé que l’objectif numéro de tout combattant et de tout congolais est de chasser monsieur « Joseph Kabila » du pouvoir où il se cramponne sans qualité.

Pour cela, l’heure est venue pour qu’une organisation d’alternance se mette progressivement en place, mobilise les gens et en occident et au pays. Cela pourrait aboutir à un soulèvement populaire. cEn tant qu'adeptes de la non-violence, nous n’avons même pas besoin de tire un coup de feu. » dira-t-il. 

Par rapport à sa présence lors de la table ronde de l’ambassade, il a affirmé que le combat était multiforme. Il comprenait la position des combattants qui prônent la ligne dure, voire radicale. Mais en tant que démocrate, il demanderait aux autres combattants d’intérioriser le fait que la diversité dans le combat n’est pas une opposition, mais une richesse. L’important, c’est de continuer à assener des coups au camp adverse.

Dans tous les cas pour lui, tous les combattants se rejoignent au moins sur un point: « Chasser "Kabila", libérer le pays des occupants. »

Par rapport à la venue éventuelle de monsieur « Kabila » à Paris le 6 décembre 2013, il a affirmé qu’il suffirait qu’il y ait 5.000 Congolais sur les champs Elysées pour que monsieur « Kabila » n’ose pas mettre ses pieds en France. « Nous y travaillons. »

Il a enfin lancé un appel à tous ceux qui veulent se joindre à lui pour une mise en place d’une structure efficace de combat, de le rejoindre.

Après la communication, un débat fort riche a eu lieu avec ceux qui s’étaient déplacé.

Liège, le 29 novembre 2013 

Cheik FITA

Samedi 30 novembre 2013 à partir de 15h00, sur initiative de « MAYERA Pour l'enfance m.p.e international. », Cheik FITA présentera un spectacle de contes africains, tam-tam et djembe, à l’intention des jeunes de 5 à 15 ans.

Ce sera au n° 26, Rue D'Édimbourg Bâtiment Mundo b, en plein quartier de Matonge de Bruxelles.

L’entrée est libre, mais il est souhaitable de remettre à l’enfant un petit billet, afin qu’il participe aux frais, lorsque le chapeau circulera à la fin de la manifestation.

Parallèlement à cette activité culturelle à l’intention des enfants et des jeunes,  MAYERA Pour L'enfance m.p.e. international organisera à l'intention des adultes, au même endroit, une conférence-débat autour de deux thèmes :                

1. non! a la discrimination,  les enfants sans papiers ont aussi droit a l'éducation. 

Les 23 et 24 novembre 2013, les autorités néerlandaises, françaises, belges et de la République Démocratique du Congo ont procédé à l’arrestation de quatre suspects pour des atteintes présumées à l’administration de la justice dans le contexte de l’affaire Le Procureur c. Jean-Pierre Bemba Gombo, suite à un mandat d’arrêt délivré par le juge unique de la Chambre préliminaire II de Cour pénale internationale (CPI), M. le juge Cuno Tarfusser. Ce mandat d’arrêt, pour les mêmes charges, a également été signifié à Jean-Pierre Bemba Gombo au quartier pénitentiaire de la CPI où il est détenu depuis le 3 juillet 2008.

M. le juge Cuno Tarfusser avait, le 20 novembre 2013, délivré un mandat d’arrêt à l’encontre de Jean-Pierre Bemba Gombo, son conseil principal Aimé Kilolo Musamba, Jean-Jacques Mangenda Kabongo (membre de l’équipe de la défense de M. Bemba, chargé de la gestion des dossiers de l’affaire), Fidèle Babala Wandu (membre du Parlement congolais, Secrétaire général adjoint du Mouvement pour la Libération du Congo), et Narcisse Arido (témoin cité à comparaître par la Défense).

Le juge unique a considéré qu’il y a des motifs raisonnables de croire que les personnes susmentionnées ont engagé leur responsabilité pénale en commettant des atteintes à l’administration de la justice (article 70 du Statut de Rome), consistant en la subornation de témoins devant la CPI et en la production d'éléments de preuve faux ou falsifiés en connaissance de cause. Les suspects auraient constitué un réseau aux fins de produire des documents faux ou falsifiés et de corrompre certaines personnes afin qu’elles fassent de faux témoignages dans l’affaire concernant M. Bemba.

Les autorités belges ont arrêté Aimé Kilolo Musamba, les autorités néerlandaises ont arrêté Jean-Jacques Mangenda Kabongo, tandis que Narcisse Arido a été arrêté par les autorités françaises suite aux demandes d’arrestation et de remise que leur avait adressées la CPI. Ils seront remis à la CPI ultérieurement conformément aux procédures judiciaires applicables dans ces trois pays. Fidèle Babala Wandu a été arrêté par les autorités de la République démocratique du Congo et est en cours de transfert à La Haye. La date de l’audience de sa première comparution devant la CPI sera annoncée prochainement. Les autorités ont également coopéré avec la CPI aux fins de la perquisition de lieux concernant les suspects. Le juge unique de la Chambre préliminaire II a également demandé aux Etats concernés de localiser et geler les avoirs des suspects.

Le Greffier de la CPI, Herman von Hebel, a exprimé au nom de la CPI sa gratitude aux autorités de ces Etats pour leur coopération, rappelant qu’il s’agit des premières arrestations pour de telles charges devant la CPI.

Le procès de Jean-Pierre Bemba Gombo, président et commandant en chef présumé du Mouvement de libération du Congo, s’est ouvert le 22 novembre 2010, pour deux chefs de crimes contre l’humanité (viol et meurtre) et trois chefs de crimes de guerre (viol, meurtre et pillage) prétendument commis en République centrafricaine. 

source : http://www.icc-cpi.int/fr_menus/icc/press%20and%20media/press%20releases/Pages/pr962.aspx 

Louis Michel, parlementaire européen, ancien ministre belge des affaires étrangères, ancien commissaire européen au développement fait la "une" des médias à propos d'une affaire d’éventuels collusions avec des lobbyistes au Parlement européen.

Selon la presse flamande, 158 amendements sur une loi auraient été introduits en son nom. Et ces amendements seraient des véritables « copier coller » de textes des lobbyistes.

Problème, Louis Michel prétend tout ignorer de cela.

Ci-dessous, des articles de la presse belge à ce sujet.

Bruxelles, le 22 novembre 2013

Cheik FITA

Le quotidien De Morgen a révélé jeudi le dépôt, au nom de M. Michel (MR), de 158 amendements issus des lobbies et défavorables à la protection de la vie privée dans la récente législation européenne en la matière.

Le député européen Bart Staes accorde peu de crédit à la ligne de défense de son collègue eurodéputé libéral Louis Michel selon laquelle celui-ci n'aurait pas été informé de l'introduction, à son insu, par un collaborateur, d'une série d'amendements aux règles européennes sur la vie privée.

"L'histoire de Louis Michel ferraille dans tous les sens. D'après moi, il savait 

suite en cliquant ici : 

http://www.dhnet.be/actu/belgique/vie-privee-les-explications-de-louis-michel-ne-convainquent-pas-528e6e9f3570386f7f315ba9 

La loi européenne sur la vie privée a fait l’objet d’une véritable guerre des lobbys, qui a abouti à près de 4.000 amendements. Le site Lobbyplag, qui analyse l’influence des lobbys au sein des institutions européennes, a constaté que 158 amendements défavorables à la protection de la vie privée ont été déposés au nom de Louis Michel.

Une information révélée par De Morgen qui a fait bondir le député européen, qui se dit «  radicalement en faveur de la vie privée  ». «  Je n’ai jamais vu, ni su, ni signé physiquement aucun de ces amendements  », déposés par voie 

suite en cliquant ici : 

http://www.lesoir.be/365541/article/actualite/monde/2013-11-21/collaborateur-louis-michel-remis-sa-demission