Depuis 10 ans, la Monuc, la plus importante force de paix au monde, intervient en République Démocratique du Congo. 20 000 soldats ont pour mission d’assurer la sécurité des populations civiles. Depuis quelques mois, les autorités de Kinshasa aimeraient voir partir la force de l’ONU. Quel serait leur intérêt à cela et quelles en seraient les conséquences?

Un reportage de la télévision française France 24

CLIQUER SUR LE LIEN CI-DESSOUS POUR VISIONNER LA VIDEO

http://www.france24.com/fr/20100415-focus-republique-democratique-du-congo-rdc-quel-avenir-pour-l-onu-monuc-joesph-kabila 

1^er Le pouvoir de Kigali a peur

 

 

9^ème Braquage a matonge-bruxelles : un mort et un blesse grave

 

 

publié par Cheik FITA Hier à 18h07

Ce lundi 12 avril 2010 en début d’après-midi, un braquage a eu lieu au quartier Matonge de Bruxelles. Bilan : un mort et un blessé grave. Ce braquage a eu lieu dans une des bijouteries qui se…

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Au moment où notre article « Braquage à Matonge, un mort et un blessé grave», a occupé une modeste 9^ème place  quelques heures après sa diffusion, un article sur le très remuant régime rwandais cartonne : pour les dernières vingt-quatre heures,  il est sans plus ni moins N°1 dans le top-buzz du serveur. Son titre : « Le pouvoir de Kigali a peur »

En voici un extrait et le lien :

Cheik FITA

Bruxelles, le 13 avril 2010

Billet d'humeur d'Eugène Shimamungu (Newsletter n°26)

Pour écraser une mouche, ce n’est pas un marteau qu’il faut, c’est une simple tapette !

Nous ne pouvions pas parier sur les chances de réussite  de l’aventure Ingabire au Rwanda, mais force est de constater aujourd’hui que les résultats ont largement dépassé nos espérances : elle a presque réussi à déstabiliser le régime en profondeur pendant seulement trois mois. Depuis son arrivée au Rwanda, on dirait que Kagame ne dort plus ! Il a senti venir la concurrence. Il a d’abord menacé de la mettre en prison (en donnant l’exemple sur son collaborateur Joseph Ntawangundi), et d’écraser la mouche avec un marteau ! Kagame s’est trompé d’instrument de mise à mort. Pour écraser une mouche, il suffit d’une tapette. Mais bien plus encore, depuis le célèbre discours de Murambi du 7 avril 2007, Kagame n’avait  plus prononcé un discours de la même trame où il insulte les Occidentaux, les Hutus et tout le toutim. Ce qui montre que Kagame est bien plus qu’énervé ! Victoire Ingabire a même réussi à se faire traiter d’hooligan dans un discours officiel multilingue, même si l’on sait que le seul hooligan politique qui a surtout utilisé, jusque là, la force pour parvenir à ses fins est bien sûr Paul Kagame qui semble-t-il, est ravi de son nouveau petit surnom

Pour lire la suite, veuillez cliquer sur le lien suivant: 

http://editions-sources-du-nil.over-blog.com/article-le-pouvoir-de-kigali-a-peur-48452729.html 

Deux des trois commissions des EGJA (Etats généraux de la jeunesse  africaine de Bruxelles) ont siégé le samedi 10 avril 2010 de 9h30 à treize heures, à l’Université libre et Internationale de Bruxelles.

La commission « famille et éducation » ainsi que la commission histoire et culture.

Pour rappel, les états généraux de la jeunesse africaine de Bruxelles ont été inaugurés il y a une semaine pour réfléchir sur la situation des jeunes bruxellois d’origine subsaharienne, confrontés à leur appartenance à deux cultures : africaine d’une part, belge de l’autre.

Prochain rendez-vous : samedi prochain, même lieu, même heure.

Ci-dessous le point fait par les rapporteurs de ces commissions :

mademoiselle Lutanju Joséphine et monsieur Soiresse N. Kalvin .

 Cheik FITA

Bruxelles, le 10 avril 2010

Dans le cadre du 50ème anniversaire de l'indépendance de la République Démocratique du Congo, mardi 6 avril 2010 de 19h30 à 21h00 à la maison africaine de Bruxelles, rue d’Alsace-Lorraine 33, 3ème série de conférences programmées par la Coordination  de l'Opinion Congolaise (COC) et L’UROME, Union Royale Belge pour les Pays d’Outre- Mer.

Deux communications par des  témoins du passage de notre pays de la colonisation à l’indépendance, un congolais et un belge :

« L’indépendance, prémices et occasions manquées » par Joseph Mbungu, ancien membre du Conseil de Cité de Léopoldville, ancien Administrateur de l’Office des Cités Africaines, ancien député de l’Assemblée nationale, ancien journaliste.

« La naissance agitée de la République du Congo » par Pierre Wustefeld. Ancien administrateur territorial au Congo belge, ancien Conseiller juridique à la Direction Générale des Affaires intérieures du Gouvernement général, ancien Magistrat au Congo belge.

Avec le recul du temps, les communications des deux orateurs ont permis de mieux appréhender les insuffisances tant des colonisateurs que des dirigeants de la toute nouvelle république du Congo.

Durant les débats, les intervenants congolais n’ont pas manqué de déplorer que cinquante ans après, le couple Congo-Belgique n’est toujours pas capable de présenter grand-chose au monde. Si depuis 1960 la Belgique s’est envolée dans le développement, son ex-colonie patauge toujours. Les hommes politiques belges actuels, intéressés au Congo n’arrivant apparemment pas à trouver la formule magique pour le décollage du Congo. Volonté délibérée ? Calculs en sous-main ? Pseudo-maîtrise du dossier Congo ?

Et du côté des politiques congolais : refus inconscient de sevrage ? Amateurisme ? Aventurisme ?

Pourtant, plus que jamais, le peuple congolais aspire à un mieux-être. D’où pourrait venir le salut ?

A cette question, dans cette troisième série de conférences des 50 ans d’indépendance de la RD Congo , personne n’a donné la réponse.

Ci-dessous un extrait vidéo de chacun des orateurs.

Cheik FITA

Bruxelles, le 7 avril 2010

Rencontre pleine d’étincelles que celle organisée par les associations Congo Cultures et Integratie Bas ‘arrière le samedi 3 avril 2010 à partir de dix heures, en la salle Nekkersdal au 107 Émile Bockstael à Laeken.

Quel est le rôle du pasteur dans la communauté congolaise ? Nos ancêtres, faute d’avoir connu l’évangile, sont-ils tous en enfer ? Les pasteurs sont-ils à la base de la dislocation des couples ou pas ? Face à la criminalité chez nos enfants,  les pasteurs ont-ils un rôle à jouer ou pas ? Quel est le rôle du pasteur face à la situation au pays ? Quid de certaines pratiques comme la dime ? Autant de questions ont été abordées avec parfois des échanges très musclés entre les intervenants.

Durant près de huit heures pasteurs, chercheurs, simples croyants, et même pourfendeurs ont rivalisé en arguments.

De l’avis des intervenants, cette initiative est louable et devrait être renouvelée. Compte tenu de la complexité du problème, il a été demandé aux organisateurs de programmer une autre rencontre en limitant le champ de discussion.

Ci-dessous quelques extraits vidéo des interventions.

Cheik FITA

Bruxelles, le 6 avril 2010