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Cheik FITA :  Philosophe, journaliste, dramaturge et metteur en scène congolais. Coup de projecteur sur l'homme, son parcours, sa philosophie, ses oeuvres, Ses convictions, son approche de l'actualité congolaise et belgo-congolaise, son avis sur le boycotter des musiciens du Congo par les combattants ...

Liste des 85 Multinationales Qui soutiennent la guerre en RD Congo

Coltan-en-rd-congo-cheikfitanews.jpg

Le saviez-vous ? Il y a du sang dans mon portable et ma TV, c’est ce que je viens de découvrir en regardant un ancien reportage de Canal Plus datant de 2009 sur le pillage des matières premières de la RDC, notamment le Coltan, par les multinationales occidentales. Le Coltan est un minerai entrant dans la composition de nombreux composants électroniques que l’on retrouve dans les portables, les télévisions, les ordinateurs, les armes : missile. Voici la liste des 85  multinationales (ci_dessous) mises en cause par l’ONU, dans le pillage de la RDC et dans le financement indirect de la guerre civile à l’Est, dans un rapport de 2003. Suite à ce rapport, l’ONU n’a pris aucune sanction et n’a pas fait appliquée l’embargo préconisé. - 

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31 août 2015 1 31 /08 /août /2015 05:47

Le 18 août 2015, lors d’une conférence de presse, monsieur Bienvenue Liyota, ministre de l’environnement du régime actuellement au pouvoir à Kinshasa avait fait une déclaration qui avait été reprise par plusieurs médias internationaux mais est passée presqu’inaperçue dans la communauté congolaise : « La République démocratique du Congo demande aux pays industrialisés de lui verser 21 milliards de dollars pour financer des programmes de préservation de la forêt congolaise, la plus grande d'Afrique. »

Cette déclaration est-elle innocente ? Découle-t-elle ou pas d’un agenda caché ? Quelle devrait être l’attitude de la société civile et des  Congolais vivant à l’étranger ?

Il est un fait, dans le combat mondial pour le climat, la RD Congo ne peut que tirer des dividendes grâce à sa grande forêt. Mais cela doit-il advenir n'importe comment? Un certain nombre de questions  ne devraient-elles pas être posées?  Voici les principales :

  • Monsieur Liyota déclare que les pays pollueurs doivent verser cette somme à la RD Congo, dans le cadre de la « révolution de la modernité prônée par monsieur Joseph Kabila ». Il se fait qu’au moment où la conférence se tiendra, il restera moins d’un an avant l’élection du nouveau président en RD Congo. Le nouvel élu sera-t-il le continuateur fidèle de la « révolution de la modernité » ?
  • Le régime finissant n’est pas parvenu à mobiliser 10 milliards de dollars pour son budget annuel, alors qu’avec ses potentialités, la RD Congo peut avoir un minimum de cent milliards de dollars de budget annuel, réclamer  21 milliards d'une façon aussi vulgaire ne dénote-t-il pas d'une certaine légèreté dans la façon de gérer le pays?
  • À voir la façon dont les milliards de l’exploitation minière s’évaporent, et ne produisent aucun impact significatif sur les populations, qu’est-ce qui prouve que subitement comme par magie, ces mauvais gestionnaires  d'aujourd'hui, deviendront des bons gestionnaires pour les milliards sollicités ?
  • Lors de sa communication, le régime de monsieur Kabila ne devra-t-il pas avoir le courage de déclarer que ces milliards devraient être gérés par le  gouvernement issu des prochaines élections, selon sa vision à lui ?

Compte tenu de  l'impact que les résolutions de cette conférence de Paris sur les générations futures, la société civile et les Congolais de l’étranger doivent doivent-ils rester inactifs ou plutôt se mobiliser pour donner un autre son de cloche?

Une piste existe déjà : la plateforme AMSC-RD Congo, « antenne monde de la société civile de la RD Congo ». non seulement elle compte donner de la voix à cette conférence, mais pour son document à transmettre aux décideurs du monde, l’ AMSC-RD Congo sollicite la contribution des Congolais vivant à l’étranger et des associations de la société civile en RD Congo.

Intéressé ? Veuillez prendre contact avec la plateforme.

E-mail : contact@antennemondesocietecivile-rdcongo.com

Site Web : http://www.antennemondesocietecivile-rdcongo.com/

 

Bruxelles, le 31 août 2015

Cheik FITA  

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29 août 2015 6 29 /08 /août /2015 18:32

2015 et 2016 sont deux années déterminantes durant lesquelles le peuple congolais sera obligatoirement appelé aux urnes afin qu’il se choisisse ses représentants à tous les niveaux. Comment éviter la mésaventure de 2011 ?

Depuis février 2015, la plateforme AMSC-RD Congo met progressivement en place son réseau tant à l’extérieur du pays qu’en RD Congo pour observer les élections en RD Congo, collecter les résultats, les compiler rapidement et les rendre publiques.

Telle est la mission que s’est assignée la plateforme AMSC-RD Congo, « antenne monde de la société civile de la RD Congo ».

 À cet effet, La plateforme AMSC-RD Congo porte à la connaissance des Congolaises et Congolais vivant en Europe, en Amérique, en Afrique du Sud et dans les pays émergeants, qu’elle invite toutes les Congolaises et tous les Congolais vivant  à l’étranger à la rejoindre et à devenir ainsi un membre actif du changement en RD Congo. Avec un effectif de 500 Congolais de  l’étranger et 70.000 au pays, il sera impossible que l’expression du peuple souverain dans les urnes, soit volée.

Le hold-up électoral de novembre 2011 n’aurait pu avoir lieu s’il existait une structure de la société civile congolaise, en synergie avec les Congolais vivant à l’étranger, capable non seulement de mobiliser le peuple pour qu’on ne lui vole pas ses élections, mais capable aussi de recueillir les preuves des résultats des urnes de tous les bureaux de vote.

La plateforme AMSC-RD Congo qui fonctionne en mode collégial à tous les niveaux a décidé de parer à cette insuffisance.

2015 et 2016, c’est un rendez-vous à ne pas manquer.

Rejoignez-nous en envoyant un  mail à :

contact@antennemondesocietecivile-rdcongo.com

plus d'information en cliquant sur le lien suivant:

http://www.antennemondesocietecivile-rdcongo.com/

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 20:40

Dialogue ou pas dialogue ? Le consensus est loin d’être acquis dans la communauté congolaise de Belgique. C’est ainsi que des combattants appellent à manifester le vendredi 28 août 2015 à Bruxelles contre le dialogue entre monsieur Kabila et l’UDPS, le parti d’Étienne Tshisekedi.

Selon monsieur Joseph Mbeka, organisateur de la manifestation que nous avons rencontré au quartier Matonge de Bruxelles le jeudi 27 août 2015 en fin de journée, une marche autorisée aura bel et bien lieu le vendredi 28 à 13h00, de la porte de Namur au rond-point Schuman.

Ce sera  selon lui « Une marche pacifique, pour enterrer les antivaleurs »

Placide de Jésus, un combattant de Hollande qui est venu à Bruxelles pour la circonstance a affirmé qu’étant en démocratie, chacun pouvait avoir son avis et l’exprimer. Il a lancé un appel à tous ceux qui partagent son point de vue de venir se joindre à ceux qui marcheront. Et de terminer : « Notre objectif final c’est Kabila dégage. »

 

Bruxelles, le 27 août 2015

Cheik FITA 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 09:34

Selon le point 30 de son propre calendrier, hier mardi 25 août 2015, la CENI, Commission électorale nationale indépendante de la RD Congo devait publier les listes définitives des électeurs par circonscription, par centre de vote et par bureau de vote.

Et dès aujourd’hui mercredi 26 août jusqu’au 9 octobre 2015, devait avoir lieu le déploiement des listes des électeurs vers les sites de vote pour affichage.

Qu’en est-il sur terrain ?

Rien.

Qui dit élections, dit électeurs. La CENI n’est pas en mesure de donner le chiffre du corps électoral pour une raison simple : elle pensait recourir tout bonnement au vieux fichier électoral corrompu de 2011.

Elle n’avait sûrement pas jugé utile de programmer et l’enrôlement de nouveaux électeurs, et l’actualisation de son ancien fichier.

2011 n’étant pas 2015-2016, la population congolaise est désormais très attentive à tout ce qui touche au processus électoral et pour rien au monde, elle n’est disposée à ce que l’on lui vole son vote.

Tous les Congolais sont conscients que c’est eux qui peuvent placer à tous les niveaux du pouvoir, les animateurs : de la commune à la présidence.

À travers tout le pays, la pression populaire est désormais réelle. Ne pas en tenir compte, serait jouer avec le feu.

Conséquences, la CENI a reporté sine die son simulacre d’élections des gouverneurs et vice-gouverneurs de nouvelles provinces.

Et maintenant, la CENI est définitivement incapable de tenir son pari du 25 octobre 2015 avec l’organisation des élections locales et des provinciales.

Il apparaît de plus en plus que le calendrier éléphantesque de la CENI avait été publié pour embrouiller l’opinion et voir comment repousser la présidentielle et les législatives de novembre 2016 (glissement !).

Face à cet échec patent de la CENI de tenir ses engagements, la pression populaire doit désormais être faite pour obliger la CENI à programmer le plus vite possible le plus grand préalable pour des élections transparentes : l’enrôlement de tous les électeurs, y compris les nouveaux majeurs.

Les organisations de la société civile, les partis politiques d’opposition doivent désormais focaliser leurs actions sur ce point précis, condition sine qua non pour se réapproprier effectivement le processus électoral et mettre la CENI aux pas.

 

Bruxelles, le 26 août 2015

Cheik FITA 

 

Lire aussi: 

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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 06:05

Dans un communiqué signé le 22 août 2015 et qui est parvenu à notre rédaction le mercredi 26 août 2015, le bureau-Belgique de l’UDPS informe l’opinion que « l’UDPS notre parti, se prépare activement à participer au dialogue prôné par la Communauté Internationale et favorablement accepté par le Président élu de la République Démocratique du Congo (RDC) et Président du parti, Monsieur Etienne Tshisekedi waMulumba. »

Selon le même communiqué, le Président Tshisekedi a au préalable « initié des consultations avec les acteurs politiques congolais, les membres de la Société Civile et ceux de la Diaspora, le Président Tshisekedi a invité certains hauts cadres nationaux de l'UDPS, à Bruxelles, afin de les consulter et de prendre le pouls de la base du parti. Ces cadres, représentatifs de la mosaïque qu'est notre grand et beau pays, la RDC, apportent au Président du parti les suggestions issues de leurs propres consultations au niveau local. »

Le communiqué poursuit :

« Le Président Etienne Tshisekedi entend aller au dialogue en étant le porteur des aspirations de tout le peuple congolais qui aspire à la paix et au développement, après les élections de novembre 2016, qu'il veut crédibles et transparentes. Comme déjà souligné à plusieurs reprises, notre parti tient à rappeler que le dialogue tel que prôné par la Communauté Internationale reste la seule voie d'arriver à ces élections dans un climat apaisé et dans les délais constitutionnels. »

Avant de conclure  que ce dialogue ne permettra pas une prolongation du dernier mandat de Monsieur Joseph Kabila.

La Belgique étant une place importante pour le combat des Congolais contre le système de Kabila, durant longtemps, la participation de l’UDPS a un éventuel dialogue avec le pouvoir de Kinshasa a pourri l’atmosphère dans la communauté congolaise de Belgique, au point que les compagnons d’hier, surtout chez les combattants sont devenus aujourd’hui des  adversaires, voire des ennemis. Et conséquence, incapable de respecter le principe selon lequel « l’union fait la force », le mouvement des combattants se retrouve actuellement en lambeaux au risque de disparaître. pour Joseph Kabila, c’est une épine en moins.

Les élections s’approchant à grande vitesse, les autres forces de la société civile de la communauté congolaise de Belgique doivent progressivement occuper le terrain afin de barrer la route à Kabila et son système lors des échéances électorales prochaines.

 

Bruxelles, le 25 août 2015

Cheik FITA 

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23 août 2015 7 23 /08 /août /2015 18:51

Lors de l’émission « Le compte à rebours » de l’Info en ligne des Congolais de Belgique du 23 août 2015, Félix Tshisekedi, chargé des relations extérieures de l’UDPS a insinué clairement que « la passation de pouvoir en décembre 2016 se fera entre le président sortant et le candidat de l’UDPS ». Durant l’émission, tous les sujets brûlants de la politique congolaise ont été abordés :

  • Le reproche fait à l’UDPS de dialoguer avec « le diable »,
  • Les détails sur les pré-contacts entre les délégués de l’UDPS et ceux du pouvoir en place,
  • La ligne rouge dans le temps à ne pas franchir en cas de dialogue,
  • L’enrôlement des électeurs ayant eu 18 ans depuis 2011,
  • Les rumeurs concernant son éventuelle réponse « oui » à être Premier Ministre,
  • Le « glissement »,
  • Son regard sur la lettre des « 25 »,
  • La bonne foi ou non de monsieur Kabila,
  • La campagne de diabolisation contre l’UDPS et même contre sa famille,
  • Les raisons des coups bas, des coups en dessous de la ceinture,
  • Le point sur le processus électoral actuel en RD Congo,
  • L’état de santé de monsieur Étienne Tshisekedi, Président de l’UDPS,
  • Le dividende que le Congolais peut tirer en amenant  l’UDPS au pouvoir en 2016.

Quant à la passation de pouvoir en décembre 2016 entre le président sortant et le président nouvellement élu, tout en exprimant une certaine inquiétude face au processus électoral actuel, monsieur Félix Tshisekedi a clairement insinué qu’il aura lieu entre le Président sortant et le candidat que l’UDPS placera à la présidentielle.

Sans langue de bois ni pirouettes, Félix Tshisekedi a répondu à toutes les questions qui lui ont été posées.

Lors de cette émission « le compte à rebours » de l’info en ligne des Congolais de Belgique, Félix Tshisekedi, l’invité du jour a affiché une conviction et une détermination sans faille vers un objectif : amener son parti l’UDPS à la présidence de la RD Congo.

Cette conviction et cette détermination sont servies par :

  • une analyse sans complaisance de la situation sociopolitique de la RD Congo après quinze ans de pouvoir de Joseph Kabila : pouvoir caractérisé par la misère de la population, la navigation à vue, la mauvaise gouvernance, l’absence de leadership, l’omniprésence des antivaleurs, le pillage des richesses nationales…
  • la nécessité d’un processus électoral crédible, à l’antipode de celui qui avait débouché sur le hold-up électoral de 2011,
  • la foi en la non-violence comme mode de lutte contre le totalitarisme,
  • la nécessité à certains moments de négocier avec l’adversaire après une période de pression populaire,
  • la nécessité de la pression populaire sur le pouvoir en cas d’entêtement ou de dérive dictatoriale,
  • une promesse au peuple : instaurer un état de droit, permettre à chacun de bien vivre sur le sol de ses ancêtres qui a tout pour rendre tout le monde heureux.

Pour cela, Félix Tshisekedi lance un appel à tous les Congolais de soutenir l’UDPS son parti lors des élections législatives et de la présidentielle de 2016 afin que ce parti accède à la présidence lors de l’alternance de décembre 2016 et couronner ainsi la longue lutte pour la démocratie et le progrès social.

Plus de détails dans la vidéo de l’émission ci-dessous.

Bruxelles, le 23 août 2015

Cheik FITA

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21 août 2015 5 21 /08 /août /2015 21:45

 

Le samedi 26 septembre 2015 aura lieu à Genève en Suisse, la sortie officielle du Conseil Mondial de la Diaspora Congolaise, CMDC en sigle.

Ce sera au Centre Saint-Boniface/ Résidence universitaire Avenue du Mail 14 CH-1205 Genève à partir de 14 heures.

Selon les organisateurs, « depuis plusieurs années, la diaspora congolaise s'est distinguée par sa capacité à faire de la RDC son pays, une priorité. Des diverses manifestations dans les rues du monde occidental, des conférences débats, de sit-in, des journées de réflexions, des séminaires, des réunions secrètes et publiques, ont été ces dernières années le quotidien de cette diaspora congolaise. Face au défi de la reconstruction de la RD Congo et l'espoir de l'avènement d'un Etat démocratique, plusieurs congolais d'origine ou de nationalité) vivant dans la diaspora ont décidé de se retrouver sous la bannière du conseil mondial de la diaspora congolaise, CMDC en sigle, ces congolais qui veulent faire de la diaspora une réelle force politique, sociale, et économique, pensent qu'il est grand temps de se prendre sérieusement en charge. »

Contact : Félix jr Mbayi Kalombo et Justin Tshisua Bantou Commission Mobilisation (+41) 79 919 76 63 - (+41) 79 678 39 65

Bruxelles, le 21 août 2015

Cheik FITA

 

 

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21 août 2015 5 21 /08 /août /2015 06:51

Au Burundi, Pierre Nkurunziza a prêté serment le 20 août 2015 au parlement, pour un troisième mandat présidentiel controversé.

Selon un commentaire diffusé sur France24,  « Aucun chef d'Etat étranger n'était présent, ni aucun ambassadeur européen ou américain. »

La cérémonie rappelle ce qui s’était passé en RD Congo en 2011, après le hold-up électoral de Joseph Kabila que les diplomates avaient également boycotté.

 

Bruxelles, le 21 août 2015

Cheik FITA

photo: site, présidence du Burundi

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20 août 2015 4 20 /08 /août /2015 06:15
L’info pour la stabilité, la paix et le progrès de la RD Congo a un prix…  Pouvez-vous y contribuer ?

Chères lectrices, chers lecteurs,

Depuis bientôt dix ans que notre site, d’abord blog existe, vous êtes des millions à l’avoir visité et lu les différentes informations que nous mettons en ligne. Nous vous remercions pour cette fidélité et cette confiance. Cela a été le plus grand stimulant pour que nous continuions ce travail que nous considérons comme un engagement civique pour notre pays la RD Congo.

Au mois de septembre, avec la rentrée scolaire, académique, culturelle, judiciaire, politique, tout va s’emballer.

Seulement, vous êtes-vous jamais posé la question de savoir avec quelques ressources ce travail est réalisé ?

Voici.

Sporadiquement, une association, une personne ou un invité à une émission prend en charge certains frais techniques. Plus rarement d’autres sympathisants à la cause du Congo font un geste financier. C’est tout.

Notre site n’est ni subventionné, ni soutenu par un mécène. La seule subvention, les seuls mécènes, c’est vous nos lectrices et lecteurs qui croyez en un meilleur avenir pour le Congo.

Nous vous lançons donc un appel pour un soutien même symbolique : une domiciliation d’un virement d’1€, 5€ ou plus par mois, selon votre portefeuille et votre cœur.

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Avec plus de moyens, nous aurions même une équipe conséquente, à la dimension des enjeux. Lesquels ?

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L’info en ligne des Congolais de Belgique vous remercie d’avance.

 

 

 

 

 

 

Bruxelles, le 20 août 2015

Cheik FITA

 

 

 

 

 

 

 

 

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19 août 2015 3 19 /08 /août /2015 10:49

Entre l’exigence démocratique de l’alternance au pouvoir, et l’instinct « légitime » de la conservation du pouvoir…

COMMENT EVITER LES SCHEMAS ET LES CHEMINS DU CHAOS  POUR  LA RDC EN 2016 ?

_____________________________

par Tshivis T. Tshivuadi.*

Secrétaire Général de JED, journaliste en danger

 Dans son speech prononcé dans les jardins de sa résidence, à l’occasion de la célébration, le 14 juillet 2014, de la fête nationale de son pays, l’Ambassadeur de France en RDC, M. Luc Hallade, déclarait ce qui suit, à propos des échéances politiques en cours : « …Plutôt que de vous parler du calendrier électoral ou de réforme de la Constitution, je voudrais aborder cette  question sous l’angle de la stabilité et de la sécurité. En effet, pour se développer, un pays, quel qu’il soit, a besoin de ces deux piliers pour réussir à enclencher une dynamique positive ». Et d’ajouter : « La stabilité n’est pas synonyme de statu quo.  La stabilité, c’est le fonctionnement régulier des Institutions et des pouvoirs publics, le respect des libertés publiques consacrées par la Constitution. C’est enfin le respect d’une règle de base de fonctionnement de toute démocratie : la possibilité d’une alternance au pouvoir, sanctionnée par des élections libres transparentes et inclusives ».

Concernant, la sécurité, l’ambassadeur français déclare que ce n’est pas  seulement d’assurer que les FARDC disposent des troupes et du matériel nécessaire pour défendre l’intégrité de son territoire, mais  c’est aussi la liberté d’aller et de venir à l’intérieur des frontières, dans toutes les provinces, sans risquer de se faire agresser, violer ou tuer ».

Ce discours qui est celui que tiennent désormais tous les diplomates à Kinshasa, traduit également la position officielle des Etats Unis sur la RDC quant ils encouragent le Président Kabila à faciliter l’alternance et le bon fonctionnement des Institutions.

Et le dernier sommet USA-Afrique qui s’est tenu à Washington, sur fonds d’un Appel pressant des Etats-Unis au respect de l’alternance politique,  en est une illustration.. Et citant l’exemple de l’ancien président sud-africain, Nelson Mandela, John Kerry a affirmé que la plupart des peuples d’Afrique étaient favorables à une limitation à deux mandats pour leurs dirigeants. « Nous pressons les dirigeants de ne pas modifier les Constitutions pour leurs bénéfices personnels ou politiques », a-t-il assuré.

Depuis que les débats s’enveniment,  sur les intentions réelles ou supposées de la majorité au pouvoir de modifier la Constitution pour permettre au Président  Kabila de rester au pouvoir, on assiste, dans les médias ou ailleurs, à une véritable guerre de tranchées entre les radicaux de l’opposition et ceux de  la majorité. Entre ceux qui soutiennent l’exigence démocratique de l’alternance au pouvoir, et ceux qui défendent leur « instinct  légitime » de conserver le pouvoir.

Mais le plus étonnant dans cette passe d’armes, c’est qu’aucun de ces protagonistes ne présente clairement les schémas ou les chemins qu’il faut emprunter pour conserver le pouvoir ou pour assurer l’alternance au pouvoir, avec la garantie de la paix, de la stabilité et de la sécurité du pays, avec  ou sans Kabila au pouvoir, après 2016. Cette  paix, cette stabilité et cette sécurité de la RDC qui constituent les préoccupations majeures de la Communauté internationale aujourd’hui. Non seulement en raison des leurs propres intérêts  dans un pays qui regorge des potentialités et des richesses inouïes, mais aussi en raison de sa situation stratégique  au cœur de l’Afrique, dans le maintien de  la paix et de la stabilité régionale.

Il convient de rappeler également que la préoccupation sécuritaire et la stabilité régionale constituent le fondement de l’Accord Cadre du 24 février 2013 signé à Addis-Abeba par 11 pays et de la Résolution 2098 du Conseil de sécurité, et justifient certaines « interférences » de cette même Communauté internationale dans le débat national congolais, sur des questions telles que le processus démocratique,  le calendrier électoral, la modification de la Constitution, etc

Selon plusieurs observateurs avertis de la scène politique et des pouvoirs en place en Afrique, « en cherchant à réviser les Constitutions de leurs pays, les chefs d’Etat africains ne cherchent pas tant à s’accrocher au pouvoir mais manifestent plutôt la peur de perdre le pouvoir, et de pouvoir rendre compte de leurs gestions ou de pouvoir être l’objet de règlements des comptes de la part de leurs adversaires  ou ennemis politiques.  Les exemples récents d’anciens chefs d’Etats qui ont été soit arrêtés  soit malmenés après avoir quitté le pouvoir sont légion. La peur étant un sentiment naturel. Ils sont aidés en cela par des entourages des courtisans prêts à tous pour conserver des positions personnelles acquises,  mais aussi par une certaine opposition qui brille par sa médiocrité et qui ne donne aucune garantie qu’elle peut constituer une alternative crédible à des pouvoirs qui ont failli, certes, mais constituent peut-être le moindre mal ».

A titre illustratif, les surenchères actuelles de l’opposition congolaise menaçant de traduire ou de déférer le Président Kabila à la CPI aussitôt qu’il aura quitté le pouvoir, ne sont pas de nature à faciliter une alternance pacifique que tout le monde appelle de tous ses vœux face à un Pouvoir déterminé à se maintenir et qui contrôle tout l’appareil de l’Etat (Armée, police, services de sécurité).

La fermentation haineuse des esprits qui s’observe entre les radicaux de l’opposition et ceux de la majorité autour des échéances politiques de 2016 est un véritable poison qui prélude d’un chaos dont personne ne peut prédire les conséquences pour un pays encore fragile à plusieurs égards.

Nul doute qu’au cœur de cette grande hypothèque sur l’avenir, se trouve le destin d’un homme, Joseph Kabila, et d’un pays, la République démocratique du Congo. Jamais aussi, le destin d’un homme seul  n’était autant lié avec celui de tout un pays.

Alors que le Chef de l’Etat en poste, Joseph Kabila, ne s’est pas encore officiellement prononcé pour une révision de la Constitution qui lui permettrait de rempiler, il est plus que temps et  urgent de désarmer les esprits, et d’arrêter de jouer à se faire peur.

L’après-Kabila, s’il doit avoir lieu un jour, doit se négocier maintenant pour assurer une sortie « honorable » à un homme dont les actions et les réalisations marqueront certainement l’histoire de ce pays. Il s’agit de préparer une sortie qui puisse préserver les acquis de la paix, de la sécurité et de la stabilité d’un pays encore aux prises avec ses démons des guerres et des rebellions, menacé de partition ou de balkanisation à causes des convoitises étrangères, et en situation de quasi mise sous tutelle des Nations Unies qui y ont positionné 17 000 casques bleus.

A cet égard,  la polémique actuelle autour de la fin du mandat du Président de la République devrait cesser d’être un débat juridique ou d’idéologie, pour être posée en termes de la survie de la Nation après 2016, avec ou sans Kabila. Non pas parce que Kabila serait le meilleur  ou l’homme providentiel pour la RDC, mais uniquement parce que le successeur de l’actuel Chef de l’Etat doit garantir et assurer la survie de la Nation, le bon fonctionnement des Institutions, la paix, la sécurité et la stabilité du pays.

C’est ici que se pose ou devrait se poser la question de l’Hommes ou des hommes capables d’incarner une alternative crédible de paix, de sécurité et de développement après Joseph Kabila, soit en interne dans la Majorité actuelle, soit du coté de l’opposition. Il s’agit surtout  de penser l’avenir de la RDC en termes de projet alternatif de récupération de la souveraineté nationale et de reconstruction de l’Etat.

QUE FAIRE ALORS ?

Maintenant que la trêve observée à l’issue de la tenue des Concertations Nationale destinée à sceller la réconciliation nationale, a été rompue par une longue attente déçue de la formation du gouvernement dit de cohésion nationale ;

Maintenant qu’une frange de l’opposition qui avait boudé les Concertations Nationales appelle à nouveau au dialogue avec le Président de la République et sa majorité ;

Maintenant que la Communauté internationale qui craint plus que tout que la RDC avec un potentiel de risque d’éclatement  100 fois plus que celui de la Centrafrique, ne bascule à son tour dans la violence, accentue les pressions sur le Pouvoir en place à Kinshasa, et les mises en garde contre toute tentative de tripatouillage de la Constitution qui permettrait au Président Kabila de se représenter pour un nouveau mandat ;

Maintenant que les derniers événements du 22 juillet au Camps Tshatshi, dans l’attaque dite des adeptes de Mukungubila, ont démontré à quel point les menaces de déstabilisations demeurent réelles ; et que les menaces d’implosion  de la RDC ne sont pas une vue d’esprit en cas de conflit politique majeur ;

Ayant à l’esprit ces déclarations fortes  et ces mots aussi puissants que juste, du Président  Kabila lui-même quand il déclarait, le 23 octobre 2013, à l’issue des Concertations nationales, et devant l’Assemblée nationale et le Sénat réunis en Congrès au palais du peuple, notamment que :

  « Pour changer le Congo, nous devons d’abord nous-mêmes changer dans notre manière de vivre ensemble, de faire la politique, de gérer l’Etat et la communauté nationale…

Quels que soient les efforts sur le plan du développement, notre économie ne saurait atteindre sa vitesse de croisière dans une ambiance de corruption, de détournement des deniers publics, de coulage des recettes publiques et d’enrichissement illicite. 

Nous avons le devoir de rendre à notre pays ses lettres de noblesse, de lui redonner sa voix et son poids dans le concert des Nations compte tenu de ses nombreuses potentialités.

C’est à ce prix, et à ce prix seulement que, grâce aux Concertations nationales demain sera différent d’aujourd’hui.

Vous l’avez compris, c’est donc à un nouveau départ que je convie ce jour le peuple congolais » ;

Conscient de l’immense espoir que suscite les projets  de la modernisation du pays  initiés par le Chef de l’Etat actuel,  et dont les effets visibles ne sont pas à démontrer, mais néanmoins en butte aux exigences constitutionnelles de l’alternance au pouvoir et de la limitation des mandats présidentiels, qui oblige le Président à passer la main ;

Face à sa responsabilité historique, et à son destin  personnel qui lui incombe de transformer le spectre du chaos que d’aucuns redoutent à l’horizon 2016, en une fenêtre d’opportunités qui lui permettra de sortir de la scène politique par la grande porte, pour entrer dans l’Histoire avec grand « H » en donnant l’exemple aux autres pays et Chefs de l’Etat confrontés à la même problématique de l’alternance au pouvoir ;

Le Président de la République Joseph Kabila, en sa qualité d’autorité suprême du  pays, placé au dessus des considérations partisanes, devrait garder l’initiative de l’apaisement et du désarmement des esprits, en se prononçant clairement  et courageusement sur son avenir politique, accepter de passer la main en 2016, et préparer dès maintenant sa succession.

Pour saisir la main tendue de la frange radicale de l’opposition qui appelle au dialogue, et compte tenue des expériences du passé qui ont vu des initiatives de dialogue ou de concertations des politiciens terminer en eau de boudin, il serait impérieux  pour le Président de la République , autour duquel toutes les négociations devraient se dérouler, d’initier dès à présent, et  en toute discrétion une mission des bons offices  ou de médiation.

Cette Mission de bons offices, conduite en toute discrétion, par un homme ou un groupe d’hommes, nationaux ou étrangers, revêtus d’une notoriété et d’une respectabilité éprouvée, sera chargée de renouer le fil du dialogue avec toutes les parties prenantes (Majorité présidentielle, opposition, représentants de la Communauté internationale, Société civile…) pour préparer la sortie « honorable » d’un homme qui aura  tout donné pour sauver sa patrie,  et dont le peuple et le monde reconnaissants  de son dévouement et de son sens de l’intérêt général  sauront lui être gré,  et revêtiront  sa personne de tout  le respect dû à l’homme et à sa grandeur d’âme.

Mais pour y arriver,  il reste une hypothèque majeure : c’est le temps. Le temps qui court pour le Pouvoir en place face à la date butoir de 2016,  et qui exige que des choix difficiles, pour l’avenir de la Nation, soient opérés courageusement dès à présent, et sans plus de tergiversation,  pour sauver ce qui peut l’être encore.

_______________________________

Tshivis T. Tshivuadi est Secrétaire Général de Journaliste en danger (JED)

ONG de défense et de promotion de la liberté de la presse

374, avenue colonel Mondjiba. Galerie St Pierre. 1er Niveau.

Kinshasa/Ngaliema. B.P.: 633 Kinshasa 1

Télphones: +243 819 996 353 - 099 99 96 353

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