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Cheik FITA :  Philosophe, journaliste, dramaturge et metteur en scène congolais. Coup de projecteur sur l'homme, son parcours, sa philosophie, ses oeuvres, Ses convictions, son approche de l'actualité congolaise et belgo-congolaise, son avis sur le boycotter des musiciens du Congo par les combattants ...

Liste des 85 Multinationales Qui soutiennent la guerre en RD Congo

Coltan-en-rd-congo-cheikfitanews.jpg

Le saviez-vous ? Il y a du sang dans mon portable et ma TV, c’est ce que je viens de découvrir en regardant un ancien reportage de Canal Plus datant de 2009 sur le pillage des matières premières de la RDC, notamment le Coltan, par les multinationales occidentales. Le Coltan est un minerai entrant dans la composition de nombreux composants électroniques que l’on retrouve dans les portables, les télévisions, les ordinateurs, les armes : missile. Voici la liste des 85  multinationales (ci_dessous) mises en cause par l’ONU, dans le pillage de la RDC et dans le financement indirect de la guerre civile à l’Est, dans un rapport de 2003. Suite à ce rapport, l’ONU n’a pris aucune sanction et n’a pas fait appliquée l’embargo préconisé. - 

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20 novembre 2015 5 20 /11 /novembre /2015 11:09

Par mesure de précautions entourant l'ULB, la soirée "conte africain sur le réchauffement climatique" prévue le vendredi 20 novembre 2015 en collaboration avec l'asbl ecoculture a été annulée.

Nous présentons toutes nos excuses à tous ceux qui avaient déjà confirmé leur présence. Dès qu'une nouvelle date sera fixée, nous ne manquerons pas de la porter à la connaissance  du public.

Cheik FITA

 

Lire aussi:

http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_ulb-les-lieux-de-grand-rassemblement-fermes-sur-conseil-de-la-police?id=9141973 

http://www.lacapitale.be/1427415/article/2015-11-19/l-ulb-evacuee-ce-jeudi-soir-c-est-un-conseil-de-precaution-donne-par-la-police 

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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 18:59

 

 

Carine Nawej, présentatrice de l’émission « 1000 couleurs d’Europe » produite à Bruxelles et diffusée à Kinshasa sur Congoweb TV en RD Congo, a reçu le dramaturge Congolais Cheik FITA .

C’était pour annoncer le spectacle de conte qui aura lieu dans la salle Delvaux de l’ULB, le vendredi 20 novembre 2015 à 19H00. À l’affiche , le conte « Le ver et le fruit », un conte sur le réchauffement  climatique.

La présentatrice en a profité pour demander à l’artiste de parler un peu de sa carrière, du rôle du théâtre dans la société congolaise ainsi que des pistes pour que celui-ci émerge.

ILCB

L’émission « Mille couleurs d’Europe » annonce le spectacle « le ver et le fruit » de Cheik FITA
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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 22:48

archives.samedi 2 Juillet 2011, marche des Congolais à Bruxelles. Photo cheikfitanews

Samedi 28 novembre 2015 à partir de 14H00, une marche appelant au départ du pouvoir de Joseph Kabila aura lieu à Bruxelles à partir du Métro porte de Namur avec point de chute le Rond-point Schuman.

Selon madame Marie Lusamba, initiatrice de la manifestation et que nous avons interviewée, les Congolais ne doivent pas attendre 2016 pour faire partir monsieur Joseph Kabila du pouvoir. « Joseph Kabila  est un manipulateur » a lancé Marie Lusamba avec une colère contenue, dès que nous lui avons tendu notre micro, sous-entendant par là que Joseph Kabila cherche à se cramponner au pouvoir par tous les moyens.

Depuis plusieurs jours, Marie Lusamba et son groupe circulent à travers tout Bruxelles pour distribuer des tracts et sensibiliser les Congolais afin qu’ils viennent nombreux à la marche du 28.11.2015. « Nous ne sommes pas des politiques» a ajouté notre interlocutrice. C’était sûrement pour se démarquer de la polémique stérile « dialogueurs-anti-dialogueurs » qui pollue les relations entre Congolais à l’étranger depuis quelques mois, véritable cacophonie qui a réussi à dresser les compagnons d’hier, les uns contre les autres.

Hasard de calendrier, la marche aura lieu le 28 novembre. Il y a quatre ans, un autre 28 novembre, Joseph Kabila et son clan avaient réalisé un  véritable hold-up électoral pour se maintenir au pouvoir. À travers plusieurs villes du monde, des milliers de Congolais marchèrent pour protester contre cet acte ignoble, sensibilisant ainsi l’opinion internationale sur ce point.

À l’approche de la fin du deuxième et dernier mandat, quoique controversé de Joseph Kabila à la tête de la RD Congo, les Congolais vivant à l’étranger sauront-ils surmonter leurs divergences pour s’unir dans des actions communes contre le régime de monsieur Kabila ?

L'organisatrice de la manifestation a même lancé une pique : «Ceux qui ne viendront pas voudraient que Joseph Kabila reste au pouvoir ou ... Ont déjà été corrompus par le dictateur!»

« L’union fait la force » dit-on. Les Congolais seront-ils en mesure d’intérioriser cela ainsi que cette phrase de Martin Luther King : «Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots»?

Bruxelles, le 18 novembre 2015

Cheik FITA

Bruxelles 28.11.2015: marche « Kabila dégage »
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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 07:54

En ce 21ème siècle, il est impensable que dans un pays l’on puisse vivre comme dans une jungle où c’est la loi du plus fort qui est appliquée. En analysant de près le mode de fonctionnement de la RD Congo, on constate hélas que c’est bien le cas, et même pire. Cela doit-il continuer ? Jusque quand ? Comment nous en sortir ?

Quand on examine le mode d’accession au pouvoir de tous ceux qui dirigent aujourd’hui la RD Congo, de la base au sommet, il est effrayant de constater qu’aucune structure de l’état congolais n’est dirigée par une personne ayant la légitimité du peuple.

Voici.

L’article 5 de la constitution de la RD Congo dit ceci :

« La souveraineté nationale appartient au peuple. Tout pouvoir émane du peuple qui l’exerce directement par voie de référendum ou d’élections et indirectement par ses représentants. Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. »

Or que constatons-nous aujourd’hui ?

À tous les niveaux du pouvoir, on ne retrouve que des individus n’ayant aucune légitimité du peuple.

Quels sont ces niveaux du pouvoir ?

L’article 2 de la constitution  y répond :

«  La République Démocratique du Congo est composée de la ville de Kinshasa et de 25 provinces dotées de la personnalité juridique. Ces provinces sont… »

L’article 3 complète :

« …  Les provinces et les entités territoriales décentralisées de la République Démocratique du Congo sont dotées de la personnalité juridique et sont gérées par les organes locaux. Ces entités territoriales décentralisées sont la ville, la commune, le secteur et la chefferie. »

Il n’est plus nécessaire de remonter jusque Mobutu parce l’AFDL l’avait chassé pour faire mieux.

En 2002, il y eut le dialogue inter-congolais pour baliser la marche du pays.

Et à l’issue de ce dialogue, des accords furent signés. Ceux qui étaient arrivés au pouvoir avaient pris l’engagement de :

Faire un recensement de la population,

Organiser un référendum constitutionnel

Organiser les élections de la base au sommet.

Quel bilan aujourd’hui ?

Y a-t-il eu recensement général de la population ? Non.

Y a-t-il eu référendum constitutionnel ? Oui.

Y a-t-il eu des élections de la base au sommet ? Non.

Et aujourd’hui, à quel niveau du pouvoir retrouve-t-on des élus ?

Les chefferies ? Non.

Les secteurs ? Non.

Les communes ? Non.

Les villes ? Non.

Les provinces ? Il y eut des gouverneurs élus de 2007 à 2012.

Et aujourd’hui ? Avec la mise en place précipitée et irréfléchie des vingt-six provinces, à la tête de ces 26 provinces, il y a été parachutés des individus venant de nulle part!

Le pouvoir législatif n’est pas en reste.

À la chambre basse, la plupart de ceux qui se disent « majorité présidentielle » ne sont que des députés nommés et ayant atterri dans l’hemicycle via la corruption ou le bourrage des urnes.

Les sénateurs sont les plus culottés. Sans mandat du peuple depuis 2012, ils continuent à siéger et même à légiférer, toute honte bue.

Jusqu’il y a peu, il y avait des assemblées provinciales périmées depuis 2012 !

À la Présidence ?

C’est un secret de polichinelle, monsieur Joseph Kabila est à la tête du pays suite au hold-up électoral de novembre 2011.

Même en considérant le score officiel qui lui avait été attribué, après bourrage d’urnes et falsification des chiffres, monsieur Joseph Kabila n’avait été crédité que de 48,9%, soit 8.880944 voix. Sur terrain, par rapport aux 70.000.000 de Congolais, cela représente 12,68%. Représentait car c’était en 2011, dans l’entretemps, une grosse partie de ceux qui faisaient  confiance à monsieur Kabila lui ont définitivement tourné le dos, en commençant par son« fief », le Katanga dans son ancienne configuration !

En considérant l’article 5 de la constitution qui dit :

« La souveraineté nationale appartient au peuple. Tout pouvoir émane du peuple qui l’exerce directement par voie de référendum ou d’élections et indirectement par ses représentants. Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. »

Il est navrant de constater que tous les actuels dirigeants des provinces, villes, communes, secteurs, chefferies, sont là en violation flagrante de la constitution.

Partant de cela, les 70.000.000 de Congolais sont-ils obligés d’obéir à ces « individus qui s’attribuent illégalement l’exercice du pouvoir » ?

Non, malheureusement.

Le  vendredi 23 octobre 2015, depuis Bruxelles, le parti d’opposition UDPS avait lancé un ultimatum à monsieur Joseph Kabila pour un éventuel dialogue afin de baliser le processus électoral.

Apparemment, le message avait été entendu en face. Suffisamment ? Il y a des doutes car, par-ci par-là des propos nauséabonds de certains kabilistes sont entendus prônant une transition. Avec ou sans Kabila ?

Si au delà du 28 novembre 2015, cet éventuel dialogue n’avait pas encore commencé, mieux, s’il n’était pas encore terminé, l’UDPS et les autres partis d’opposition ne devraient-ils pas amorcer la pression sur ce pouvoir illégitime ?

Pourquoi le 28 novembre ?

Le 28 novembre est une date symbolique. En 2011, il y a quatre ans, le clan Kabila avait exécuté un plan minutieusement conçu de longue date pour s’accaparer du pouvoir via des résultats électoraux mensongers. Si après quatre ans les kabilistes n’expriment aucun regret face à cet acte d’usurpation du pouvoir, les Congolais devraient en tirer toutes les conséquences.

Selon l’article 5 de notre constitution, aujourd’hui, les kabilistes constituent  un conglomérat d’ « individus qui veulent s’attribuer l’exercice du pouvoir. »

Le peuple congolais le sait. Dans son subconscient collectif, après le 28 novembre 2015, le rejet du pouvoir en place ira crescendo. L’impopularité et le rejet de Joseph Kabila et son système sont tels, que son régime a désormais plus intérêt à préparer l’alternance, qu’à se cramponner désespérément au pouvoir. En énervant la constitution, le régime de monsieur Kabila s’est définitivement aliéné l’opinion du peuple congolais. Les signes de fin de règne ne trompent pas.

À tout moment, une étincelle peut pousser le peuple congolais à s’approprier l’ultimatum de l’UDPS.

 

Bruxelles, le 16 novembre 2015

Cheik FITA

UDPS-Kabila, le 28 novembre 2015, mise à exécution de l'ultimatum?
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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 11:10

Du 30 novembre au 11 décembre 2015 aura lieu à Paris le COP21, la Conférence des Nations Unies sur le réchauffement climatique. Tous les décideurs du monde seront là, avec l’espoir qu’une décision tombe pouvant inverser le sprint aveugle de l’Humanité vers son autodestruction… Avec la destruction de notre environnement de vie.

Est-il possible que l’Humanité se sauve de la bêtise et de la boulimie ?

Pour répondre à cette question, il convient plutôt d’aller à la racine du mal. Quelle est cette racine ?

C’est le contenu du conte africain de Cheik FITA intitulé « Le ver et le fruit », ou « l’homme qui voulait défier la nature ».

Ce conte sera présenté à Bruxelles, le vendredi 20 novembre 2015 à 19h00 dans la salle Delvaux de l’ULB.

Cette soirée sera une façon d'interpeller tous ceux qui participeront à la conférence de Paris.

L'auteur du conte est originaire d'un pays qui a une de plus grandes forêts du monde et poumon de l'Humanité: la RD Congo.

Ce conte avait été écrit en 2007 et joué pour la première fois le 27 mars 2008 à l'Espace Matonge (78, chaussée de Wavre, Ixelles), à l'occasion de la Journée Internationale du Théâtre.

Voici ce qu’en avait dit le Professeur Tshitungu de l’Université de Lubumbashi à l'issue du spectacle:

«  Le dramaturge congolais Cheik FITA a donné un spectacle tout en finesse : un brassage des thèmes écologiques sous le signe du réchauffement climatique devant un public composé de jeunes enfants accompagnés de leurs parents.

Sous le titre « Le Ver et le fruit », il s'agit d'un conte dont il a emprunté le canevas à la tradition ; cependant il en a adapté la trame pour la mettre au diapason d'un public des jeunes dans une approche didactique bien menée.

Le récit fort vivant, ponctué de chants et de battements de tam-tam se veut un dialogue avec le public qui devient partie prenante du spectacle.

Les dérives d'une exploitation déraisonnable des richesses de notre planète sont mises en évidence, à travers un fil narratif réduit au minimum, mais qui n'en fait pas moins ressortir les travers d'un personnage obstiné à creuser la terre pour en extraire des minerais, à des fins d'enrichissement personnel contribuant ainsi au dérèglement climatique. Fort heureusement, dans un sursaut salutaire, son fils inversera cette tendance et renoncera à l'exploitation débridée du père pour mieux préserver la planète et se préserver.

La fin du spectacle est émaillée de la lecture de quelques courageuses et idoines résolutions par le public.

C'est un court spectacle dont les qualités scéniques et didactiques sont incontestables.

Je le conseille vivement aux jeunes enfants, aux adolescents, à leurs parents et à tout un chacun. »

Antoine Tshitungu Kongolo

Professeur à l’Université de Lubumbashi

 

L’entrée du spectacle sera gratuite. Compte tenu du nombre limité de places, veuillez confirmer votre venue par SMS au 0032495336519 ou par mail au cheik-fita@myway.com

 

ILCB

Info en Ligne des Congolais de Belgique

 

Réchauffement climatique : soirée à Bruxelles de contes africains avec Cheik FITA
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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 00:49

 

Peu avant minuit dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 novembre 2015, François Hollande, le Président français a décrété l’état d’urgence et a annoncé la fermeture des frontières françaises, à la suite de plusieurs explosions qui ont fait au moins quarante morts. Les fusillades ont eu lieu autour du stade de France et une prise d’otage a eu lieu au Bataclan, salle d'une capacité de 1.500 personnes.

Voici les lieux où il y a eu des incidents: Rue Bichat, Avenue de la République, Boulevard Voltaire, Rue de Charonne, Le Bataclan, Boulevard de Beaumarchais.

Un conseil de ministre s'est tenu jusque peu avant 1 heure du matin.

Le samedi 14 novembre 2015, les écoles et les universités seront fermées à Paris.

La situation évolue, plus de détails pourraient être données progressivement.

Ci-dessous, le discours du Président Hollande.

 

Source : BFM TV, TF 1, France 24

 

1h29, les sources policières annoncent une centaine de morts au Bataclan

2h00, François Hollande s'exprime au Bataclan

Explosions et morts à Paris, la France ferme ses frontières
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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:52

Comme cela est de coutume depuis 2010, une cérémonie d’hommage aux anciens combattants congolais de la première guerre mondiale a eu lieu le mercredi 11 novembre 2015 après-midi  au Square Riga dans la commune de Schaerbeek à Bruxelles.

La commune de Schaerbeek a été représentée par l’échevin Frédéric Nimal alors que du coté de la communauté congolaise de Belgique on a noté la présence du doyen Mbungu Kandamana ainsi de plusieurs mandataires politiques d’origine congolaise.

En ouverture, Georgine Dibua, initiatrice de l’action a circonscrit le sens de la manifestation avant que des discours ne soient prononcés et des chants entonnés. Enfin des gerbes de fleurs ont été déposées.

Au fur et à mesure des commémorations de cette journée, les participants deviennent plus nombreux et des plus jeunes sont progressivement associés.

Belle communion entre le passé et le présent pour un meilleur futur.

Bruxelles, le 12 novembre 2015

Cheik FITA  

 

lire aussi nos reportages des années précédentes.

Jeudi 11 novembre 2010, fête de l'armistice de 1918. à Bruxelles, la météo du jour est catastrophique: pluie, vents, froid, risque de tempête. Les médias conseillent à la population de rester à la maison l'après-midi. Malgré cette météo, l'avant-midi,...

11/11/2010

 
Vendredi 11 Novembre 2011 à partir de 15 heures au Square Riga de Bruxelles dans la commune de Schaerbeek, des congolaises et congolais ont rendu hommage aux anciens combattants du Congo belge, morts pour défendre la Belgique et l’Europe durant les deux...

12/11/2011

 
« Nous les soldats congolais, aujourd'hui, nous avons investi la ville de Kigali ! » Ce n’est ni un rêve, ni une fiction. C’est une réalité. Comment? Quand? Depuis quelques années, chaque 11 novembre, des Congolais et amis du Congo se réunissent au square...

14/12/2012

 
Lundi 11 novembre 2013à 14h30, les associations Bakushinta et COC ont organisé une cérémonie d’hommage à la force publique du Congo-Belge. C’était au monument érigé au Square Riga de la commune de Schaerbeek.Un peu plus d’une centaine de personnes étaient...

12/11/2013

Dimanche 11 novembre 2014, la Belgique a commémoré les cent ans de la première guerre mondiale. A Bruxelles, le Roi Philippe a déposé une gerbe de fleurs sur la tombe du soldat inconnu, au pied de la colonne du Congrès. Dans l’après-midi, la communauté...

11/11/2014

Bruxelles. Hommage aux anciens Combattants Congolais de la force publique
Bruxelles. Hommage aux anciens Combattants Congolais de la force publique
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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 08:39

 

Lors d’une conférence de presse au Brussel Press Club Europe, le mardi 10 novembre 2015, le député congolais Franck Diongo a donné deux pistes pour débloquer le processus électoral congolais ayant selon lui comme principal cause de blocage monsieur Joseph Kabila, actuellement à la tête de la RD Congo.

Le thème de la conférence de presse était : enjeux du processus électoral, facteurs de blocage.

L’essentiel de l’exposé de vingt-quatre minutes a été consacré à démontrer comment le blocage du processus électoral congolais avait un nom : « Joseph Kabila ». Et ce blocage n’était pas le fruit du hasard, mais bien planifié.

En guise d’introduction, monsieur Franck Diongo a rappelé l’origine, la nature et le contexte du processus électoral congolais actuel :  c’est l’accord global et inclusif de Sun City  dont il était signataire.

Le processus électoral actuel est un processus fragile et précaire, parce qu’il est issu d’un compromis politique de l’accord global et inclusif, et c’est le fruit d’un consensus.

Cet accord avait été obtenu dans un contexte de guerre. Et  il  y avait eu pression internationale pour mettre un terme à la guerre, pour organiser des élections.

Ainsi, le blocage du processus électoral actuel s’appelle Kabila. Et les vecteurs du blocage, ce sont les institutions du pays.

Franck Diongo désigne le comportement actuel de l’ensemble des institutions comme étant «L’état contre le peuple ».

Voici quelques illustrations données par l’orateur démontrant  et illustrant comment chaque institution de la république œuvre à la neutralisation du processus électoral et contribue à son  blocage. Les Congolais sont ainsi face à  une action planifiée et organisée. Il ne s’agit pas d’un cas de force majeure.

  1. La CENI, pouvoir organisateur des élections
  1. Le calendrier électoral. Le peuple avait exigé un calendrier global et inclusif, la CENI a donné à la république un calendrier indigeste, irréaliste et inconstitutionnel. Et ce calendrier est aujourd’hui dépassé.
  2. Les élections provinciales. Le calendrier publié par la CENI avait prévu des élections le 25 octobre 2015. Pour participerà ces élections, chaque candidat devait payer 600 dollars. Pour les partis politiques ce montant était exigé par liste. Ainsi à Kinshasa par exemple, un parti qui plaçait des candidats dans toutes les communes, devait débourser plus de 20.000 dollars. Aujourd’hui, la date des élections est déjà passée. De la part de la CENI, pas un mot sur ces élections, pas un mot sur les cautions déposées.
  3. Saisine de la cour constitutionnelle. Suite à l’éclatement des provinces, alors que le calendrier global avait déjà été publié, la CENI programma des élections  des gouverneurs de provinces. Une caution de 3.000 dollars par candidat gouverneur avait été exigée. Ces élections furent reportées deux fois, puis report sine die. La CENI saisit la cour constitutionnelle pour interprétation. Au lieu que soient organisées des élections pour les nouvelles provinces,  la Cour Constitutionnelle va rendre un arrêt illégal  octroyant un pouvoir à l’exécutif de nommer des gouverneurs appelés commissaires spéciaux.
  4. La démission volontaire et programmée des dirigeants de la CENI afin de bloquer la machine.
  1. Le gouvernement.
  1. Il accorde au processus électoral un budget insuffisant.
  2. Il refuse d’exécuter le budget, qui est une loi. On peut ainsi lire à la page 98 du rapport annuel de la CENI. (Non débattu jusqu’ici au parlement) : « Utilisation des fonds reçus pour les députés provinciaux. Montant total : 528 millions de dollars, budget accepté et voté. Le 25 octobre, le gouvernement n’avait décaissé que  45 millions, soit 8,69%.Or la commande des bulletins dure trois à six mois et la CENI  se retrouve avec 92% de son budget non exécuté. Le refus du gouvernement est volontaire.
  3. Absence de sécurisation du pays. Exemple à l’est, des écoles constituent jusqu’à ce jour des bases militaires.
  1. Le parlement.
  1.  Autorité budgétaire, quand le gouvernement apporte un budget insuffisant, le parlement ne décide pas d’accroitre le budget pour la tenue de bonnes élections.
  2.  Il consacre l’impunité, aucun membre du gouvernement n’est sanctionné. 
  3. Il vote des lois qui compliquent le processus électoral. Par exemple, la loi électorale qui avait été votée en janvier 2015 et qui était à la base des émeutes du 19 au janvier n’était nécessaire. Il existait déjà une loi électorale. Il  y eut des morts inutiles.
  1. Les Cours et Tribunaux.

La cour constitutionnelle, n’a pas les compétences d’octroyer des pouvoirs, d’aller au delà des demandes qui sont adressées.

Les autres cours sont instrumentalisées pour : arrêter les défenseurs de Droits de l’Homme, les opposants, les activistes de la société civile, les mouvements de jeunes. Objectif ? Empêcher la prise de conscience des citoyens.

  1. Kabila Président, de la République.

Il a inféodé toutes les institutions.

Pour lui, le pouvoir est héréditaire et militaire : il est pour lui et sa famille.

Alors que pour les Congolais, le processus électoral est là pour choisir les dirigeants, pour Kabila, le processus  est une formalité pour rester au pouvoir.

Comme aujourd’hui tous les textes excluent monsieur Kabila de se présenter aux élections, il n’a plus intérêt à ce qu’il y ait des élections.

Et le dialogue ? C’est une supercherie.

Pour Kabila, voici les objectifs du dialogue :

Trouver un semblant de compromis avec les participants pour trois objectifs principaux :

  • Décider d’une transition de deux à trois ans,
  • Rédiger l’acte constitutionnel de transition,
  • Modifier  l’actuelle constitution de la république pour une nouvelle. Et dans la constitution qu’ils ont déjà rédigée (Parce qu’ils vont suspendre l’actuelle constitution), ils on prévu, un changement du régime politique, ce ne sera plus un régime semi-présidentiel ou semi-parlementaire, ce sera un régime présidentiel, il n’ y aura plus de Premier Ministre. Le mandat du Président va passer de cinq à sept ans. On va supprimer les cinq ans renouvelables une fois, le nombre de mandat sera illimité. Dans la logique de la nouvelle constitution, il sera possible à monsieur Kabila d’être candidat.

Franck Diongo a terminé sa communication par les propositions suivantes.

  1. Le déblocage volontaire : Kabila renonce à rester au pouvoir, à  changer la constitution, à briguer un troisième mandat et s’engage à assurer l’organisation des élections avant fin 2016.
  2. Le déblocage forcé :

Partie 1. Le peuple prend conscience et refuse que le pouvoir soit confisqué par une clique d’individus. Il applique l’article 64 de la constitution…  Cela nécessite la mobilisation, la conscientisation, la sensibilisation tout azimut, la mobilisation des ressources humaines, financières, et médiatiques.

Partie 2. L’implication de la communauté internationale. en 2001, Kabila avait été  imposé aux Congolais sans leur aval. En 2011, la communauté internationale avait  reconnu le hold-up électoral. Elle est en devoir de régler  cette affaire avec la personne imposée. À défaut de convaincre leur homme, la communauté internationale a le devoir d’appuyer le peuple congolais dans son application de l’article 64 de la constitution (Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution.)

La communication de Franck Diongo a été complétée par son collègue Jean-Claude Vuemba durant onze minutes. Celui-ci a épinglé la mainmise de monsieur Joseph Kabila sur les services de sécurité et la police qui sont plus à la solde d’un individu qu’au profit de la nation.

Bruxelles, le 11 novembre 2015

Cheik FITA

 

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 21:47

Il se définit lui-même comme un libre penseur, entendez : « Personne ayant une attitude qui consiste à refuser tout dogmatisme religieux, philosophique ou autre, et qui  se fie principalement à ses propres expériences et raison pour penser ou juger. ». Mais il a plusieurs casquettes. Huit Mulongo, docteur en Lettres de la Sorbonne à Paris, est professeur à l’Université de Lubumbashi dans l’ex-Katanga, poète romancier, essayiste… Longtemps activiste de la société civile, il a traversé la ligne en allant militer à l’UDPS des années nonante avant de créer son propre parti le CRDD. Il a été Directeur de cabinet de Moïse Katumbi, dernier gouverneur du Katanga.

Sans mettre les gants, mais avec une franchise à vous couper le souffle, il aborde dans l'émission "Le compte à rebours", les problèmes politiques congolais de l’heure : l’identité polémique d’Azarias Ruberwa, ancien Vice-président de la RD Congo sous le régime 1+4, la position de Moïse Katumbi son boss par rapport au respect de la constitution en ce qui est du nombre de mandats présidentiels, tel que prévu par la constitution, la diabolisation dont Katumbi est victime de la part de leurs anciens alliés de la majorité présidentielle, alliés n’ayant comme atout que le talent de crier plus fort que les autres, alors qu’à une époque récente, ils avaient évolué sous la coupe des étrangers qui avaient envahi le pays, avec de milliers de morts à la clé…

"Qui est traitre, ceux qui disent au Président de la République la vérité et veulent lui assurer une fin de mandat honorable, ou ceux qui le poussent à la faute?"

L’émission a été enregistrée fin octobre 2015. Pour des raisons techniques, la mise en ligne n’a pu avoir que le 9 novembre 2015.

 

Bruxelles, le 9 novembre 2015

Cheik FITA

Professeur Huit Mulongo à propos de Ruberwa et du respect de la constitution
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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 08:51

Le 28 novembre 2015, le hold-up électoral de 2011 totalisera quatre ans. En même temps, le compte à rebours par rapport à  la fin définitive du pouvoir de monsieur Joseph Kabila ne se comptera plus en années, mois et jours, mais en mois et jours seulement.

Que retenir de ces quatre années ainsi que des dix autres précédentes ? Quel avenir pour la RD Congo pour cette dernière ligne droite ? Nous scruterons cela sous le prisme de la génération 18-33 ans.

On juge un pouvoir par ses réalisations pour la population, pour les citoyens, pour chaque catégorie de citoyens, pour chaque citoyen.

Quel bilan le régime finissant de Joseph Kabila laissera-t-il à la population ?

Ceux qui auront 18 ans en 2016, année des prochaines élections, avaient trois ans quand Joseph Kabila est arrivé au pouvoir.

Ceux qui avaient 18 ans en 2001, en auront 33 en 2016.

Quel regard cette tranche d’âge a-t-elle sur les 15 ans de présence du Raïs à la tête du pays ?

Quel est le parcours moyen de ces enfants qui avaient 3 ans  en 2001 et qui en auront 18 en 2016 ?

À travers toute la république, du nord au sud, de l’est à l’ouest, combien d’entre eux peuvent s’estimer heureux des années 2001-2016 pour ce qui suit :

Une bonne alimentation,

L’accès :

Aux soins de santé

À l’eau potable,

À l’électricité,

À l'école, 

À la sécurité des biens et de soi-même,

Au transport,

À un logement décent,

Aux bienfaits de la technologie,

À la culture et au loisir,

À l’information  et à la formation,

Aux bienfaits de la technologie,

À une vie familiale paisible ?

Celui qui était devenu majeur en 2001, a-t-il réalisé aujourd’hui tous ses rêves, grâce à l’état ? A trente-trois ans, peut-il estimer avoir eu tous les atouts comme tous les jeunes du monde ayant son âge, ou a-t-il l’impression d’être à la traîne ?

Constituant la majeure partie de l’électorat, les 18-33 ans doivent être conscients que leur vote fin 2016 signifiera soit la continuité du système en place, soit une véritable alternance pour donner la chance au plus grand nombre.

Voteront-ils pour le statu quo ou pour le changement ? Pour un changement réel, profond, des hommes, de systèmes et de méthodes de gestion de la res publica?

Compte tenu de leurs aspirations et de la vie de galère leur imposée, ils n’ont qu’un choix : voter pour le changement, la rupture.

Doivent-ils attendre le jour du vote pour prendre conscience de leur pouvoir ?

À près de 12 mois des échéances, pour tous les jeunes de 18 à 33ans, l’heure est venue de se mobiliser, de mobiliser.

C’est maintenant 12 mois avant le jour du scrutin, que les 18-33 ans, doivent prendre toutes les précautions pour sanctionner ceux qui durant 15 ans ont privatisé l’état à leur profit, insensibles à la misère des autres, à la misère du plus grand nombre.

Dans tous les quartiers, dans toutes les communes, dans toutes les villes, dans toutes les provinces, les 18-33 ans sont en devoir de dresser le bilan de  tout le système Kabila et de chacun de ses apparatchiks, d’en débattre et d’en évaluer l’impact.

L’heure est venue de surveiller la marche du pays pour les douze mois restants, en détectant et en dénonçant très tôt toute tentative, toute manœuvre des actuels dirigeants visant à se cramponner au pouvoir.

L’heure est venue pour se positionner très clairement dans un des deux camps, ou celui du changement et de la rupture avec la mauvaise gouvernance, ou celui du statu quo, de la fuite en avant.

Quinze ans de pouvoir s’évaluent en termes de milliers de kilomètres de routes et de chemin de fer, d’hôpitaux, d’écoles, de bourses d’études, d’habitations pour la population,  d’emplois créés…

Durant 15 ans, la population, qu’a-t-elle vue de tout cela ? Rien !

Par contre, durant quinze ans, les tenants du pouvoir se sont engraissés en pillant le pays, en bradant ses richesses et en clochardisant la population. Devraient-ils encore rester à la tête du pays après fin 2016 ?

Non. Car, cela signifierait que ce serait la porte ouverte à 15 nouvelles années de galère, d’injustice, de mépris du plus grand nombre. Un véritable danger.

Et le danger c’est ceci :

Ceux qui auront 33 ans en 2016, en auront presque cinquante, quinze ans après. Ils auront ainsi raté leur vie,  comme ceux qui ont 50 ans aujourd’hui ont raté la leur. Il  y a quinze ans, ils n’en avaient que 35, ils croyaient encore. Aujourd’hui, ils déchantent.

La génération 18-33 ans ne doit pas se faire d’illusion face aux éventuels discours mielleux de ceux qui veulent se cramponner. Non. La génération 18-33 ans doit se mobiliser et mobiliser toute son énergie, toute sa créativité pour que 2016, soit l’année de la rupture avec la bêtise, l’égoïsme et l’aventurisme dans la gestion de l’état, du bien commun, par une caste, pour une caste, contre le plus grand nombre.

Que dans les quartiers, les classes terminales du secondaire, les instituts supérieurs et les universités naissent pour  les 18-33 ans, des groupes d’échange et de réflexions; que tous ces milliers de groupes se mettent en réseaux. Que dans chaque groupe il y ait présence de différents profils et complémentarité.

Que dans les conversations de tous les jours, l’enjeu fin 2016 et l’état de la nation soient des sujets permanents de discussions et d’échanges dans les domaines suivants : politiques, économiques, sociaux et culturels.

Il est vrai, « Le pouvoir appartient au peuple ». Mais il n’y a qu’un jour par cycle de quatre ou cinq ans durant lequel le peuple a l’occasion de s’exprimer, c’est le jour des élections.

Lors des expériences précédentes, le peuple congolais a été floué. En tirant les leçons du passé, dès aujourd’hui, le peuple congolais doit déjà préparer ce prochain grand jour.

Et ce grand jour, le jour de l’élection, les 18-33 ans devront rester vigilents et collecter les résultats de tous les bureaux de vote à travers tout le pays, les rendre publics, et les protéger.

Avant d’y arriver, dès maintenant, la pression sur les gouvernants doit commencer.

La première pression, c’est de les obliger immédiatement :

  1. À promulguer le calendrier électoral,
  2. À commencer l’enregistrement des électeurs.

Oui, « Ngonga ebeti ». L’heure est venue, l'heure a sonné.

 

Bruxelles, le 9 novembre 2015

Cheik FITA

 

 

RD Congo 2001-2016. Génération 18-33 ans, gagnante ou perdante?
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